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Protection Vol

Comment protéger vos locaux contre le vol et l’intrusion ?

Un cambrioleur tente toujours de dérober le maximum en fournissant le minimum d’efforts. S’il y a résistance, il abandonne sa tentative d’effraction au bout de cinq minutes. Donc, il choisira donc naturellement les locaux les moins protégés.
Ainsi, un dispositif efficace est donc fortement recommandé.

Savoir s’adapter ?

Réfléchissez aux risques réels que court votre entreprise : votre site est-il isolé, contient-il des produits ou matériels de valeur facilement transportables, un cambrioleur peut-il s’enfuir rapidement ?
Ainsi, considérez bien tous les points sensibles pouvant influencer la prise de décision du cambrioleur. Ensuite, déterminez les moyens de résistance, de dissuasion, de détection et d’alerte qu’il est nécessaire de mettre en place.
La protection mécanique – rideaux de fer, serrures, grilles, barreaux, pour protéger vos biens, est le moyen de lutte le plus élémentaire pour dissuader, empêcher ou retarder une effraction.
Les systèmes de détection électronique d’intrusion ou système d’alarme détectent les intrusions à l’intérieur d’une zone déterminée et dissuadent les voleurs.
Avant tout, pensez à délimiter les abords de vos locaux. Une clôture ou un portail constituent le premier barrage pour le cambrioleur.
De plus, un bon éclairage extérieur est important. Il apporte aux usagers un sentiment de sécurité et dissuade l’approche du délinquant plus facilement identifiable.
Des détecteurs périphériques peuvent également être installés pour signaler une présence avant que vos locaux ne fassent l’objet d’une effraction.
Enfin, prenez garde à la végétation environnante. Elle peut permettre de se dissimuler ou d’escalader facilement une façade.

CONSEILS PREVENTIFS

A noter, en France, un cambriolage toutes les deux minutes. 80 % des vols sont réalisés par la porte d’entrée, 60% des cambriolages sont réalisés entre 12 et 18 heures avec une pointe entre 14 et 16 heures (30%). En effet, si le voleur n’a pas réussi au bout de 5 minutes à pénétrer à l’intérieur, il abandonnera. n Alors, plus il trouvera d’obstacles sur son chemin, plus il se décourager. Sachez vous protéger des cambrioleurs . . .

Attention à vos clés : Si vous perdez vos clés, changez vos serrures. N’inscrivez donc pas vos nom et adresse sur le porte-clés. Ne laissez jamais de clés sous le paillasson, dans la boîte aux lettres, dans un pot de fleurs… car les voleurs connaissent les bonnes cachettes.

Fermez toujours bien votre porte : Ne vous contentez jamais de claquer la porte. Verrouillez la systématiquement à clé, même pour une absence de très courte durée. Fermez portes, fenêtres, volets et persiennes, et aussi branchez l’alarme si vous en avez une.

Surtout, ne tentez pas le diable, ne laissez rien traîner en vue des objets pouvant attirer convoitise. En cas d’absence prolongée, mettez ainsi en sécurité vos carnets de chèques, cartes de crédit, papiers et clés.

MESURES DE SECURITE

Quelques conseils de base :

Alarme : Les voleurs craignent le bruit. Ainsi, un dispositif d’alarme sonore doublé d’un système lumineux peut les faire renoncer. Donc, consultez nous pour obtenir la liste des matériels et installateurs qu’il recommande.

Fenêtres et portes-fenêtres : Protégées par des volets ou persiennes. il est possible de renforcées par des barres horizontales intérieures. De plus, les lucarnes pourront être protégés par des barreaux de fer ou d’acier, a écartement maximum de 12 cm.

ATTENTION :

En effet, faire blinder ou renforcer sa porte ne suffit pas. Encore faut-il que, les gonds soient en mesure de la supporter. L’huisserie de la porte soit elle-même renforcée par une armature métallique. Le système le plus efficace est composé d’une serrure de haute sûreté, classée 3 étoiles selon la Certification A2P de l’Assemblée Pleinière des Sociétés d’Assurances, fixée sur le blindage et commandant le verrouillage de la porte en 3 ou 5 points.

Serrures et verrous
Sur le pêne et les clés correspondantes est gravé un certain nombre d’étoiles. En fonction de la résistance, le label est en effet accompagné d’un nombre d’étoiles croissant A2P*. La serrure est capable de résister au moins 5 minutes à une attaque classique ainsi qu’aux techniques de crochetage et de tâtage. Elle résiste au moins 10 minutes à une attaque de même type mais aussi au chalumeau portable (type Camping-Gaz)

A2P*** : Elle peut résister au moins 20 minutes à une attaque portée avec tous les outils précédents ainsi qu’à un matériel d’ouverture plus perfectionné (jeu de limes, accessoires de perceuse, . ..).

Coffres : Les coffres de sécurité : Ce sont les plus légers. Privilégiés par les particuliers, ils sont destinés à être encastrés dans un mur ou dans un sol.

– Les coffres forts : un coffre « A2P classe 1 » est moins résistant qu’un « A2P classe 2″…

En fait, seules les 2 premières classes sont recommandées aux particuliers.

LA PROTECTION ELECTRONIQUE – ALARME

Parce que le bruit dissuade le cambrioleur, la protection électronique (alarme) est un complément à la protection mécanique (serrure, blindage..)

En effet, les principales composantes d’une alarme simple.
Le dispositif d’alarme peut s’agir : Le boîtier de commande, II permet de mettre en service l’installation de surveillance.

  • d’une sirène,
  • d’une lumière,
  • d’un transmetteur téléphonique,
  • ou des trois.

Le détecteur

Il est chargé de déceler la présence d’un intrus. Il transmet l’information à la centrale. La centrale d’alarme : Elle analyse les informations des différents détecteurs et vérifie le bon fonctionnement du système. En cas d’anomalie, elle déclenche le dispositif d’alarme.

LA PROTECTION ELECTRONIQUE – ALARME

Selon le type de surveillance , il existe différents détecteurs SURVEILLANCE PERIMETRIQUE. Elle agit au niveau des accès SURVEILLANCE VOLUMETRIQUE elle agit sur les volumes d’une zone

Ainsi, il s’agit de capteurs capables de détecter la présence par ouverture des portes ou des fenêtres. Celles-ci détecte le déplacement d’un intrus à l’intérieur d’un volume fermées lorsque l’installation est en service. Ils défendent tous les accès extérieurs.

Le dispositif d’alarme
Alarme sonore, Alarme lumineuse, Alarme à distance
Par le biais du réseau, il s’agit de transmettre un message sonore vers un vous même ou un salarié. Ce dernier doit alors effectuer une vérification rapide sans prendre de risques. Il prévient la police si la vérification permet de penser qu’un cambriolage est en cours.

LA PROTECTION ELECTRONIQUE – LA TELESURVEILLANCE

La télésurveillance : un « plus » indispensable pour une sécurité renforcée .

Le principe de la télésurveillance
La télésurveillance utilise le réseau pour transmettre à distance à une station centrale des informations de sécurité, issues d’une installation de surveillance électronique. La station centrale est gérée par une société de services qui contrôle les informations et applique les consignes du client si besoin est. L’installation de surveillance électronique détecte une anomalie. Le dispositif d’alarme se déclenche et par l’intermédiaire du transmetteur téléphonique alerte la station de surveillance. La station centrale reçoit le message. Après contrôle, elle exécute les consignes laissées par le client.

ALERTE ou RECEPTION, Selon les cas, le « téléopérateur » :

  • prévient directement les services officiels (police, pompiers, . ..).
  • fait intervenir sur place un voisin, parent, – se déplace lui-même sur les lieux.

Un exemple d’installation : combinaison d’une surveillance périmétrique avec une surveillance volumétrique .La porte d’entrée est protégée par un détecteur de choc et un détecteur d’ouverture.

Un détecteur de mouvement est installé dans chaque secteur sensible passages obligés, placards où sont cachés la centrale d’alarme et le transmetteur téléphonique.

Le boîtier de commande est placé au niveau de la porte principale, à l’extérieur. L’alarme sonore est placée dans le couloir principal.

LES VITRAGES DE SECURITE

En matière de protection contre le vol, trois types de verres peuvent être utilisés :

– le verre feuilleté, – le verre trempé, – le verre armé.

Le verre feuilleté
Il est composé de deux ou plusieurs verres simples ou transformés collés entre eux par une ou plusieurs couches d’un intercalaire en matière plastique, le Butyral de Polyvinyle (PVB).Ainsi, le PVB présente une bonne adhérence au verre et un taux d’allongement important avant déchirure. Le verre feuilleté résiste à l’impact.

Le verre trempé
Il s’agit d’une transformation du verre qui peut être réalisée suivant deux procédés :

– le traitement thermique,

– le traitement chimique.

Le verre armé
C’est un verre coulé brut dans lequel est incorporé un treillis d’acier. Les mailles de ce treillis sont de 12,5 mm ou de 25 mm.

Exemples de protection : Les vitrages de sécurité doivent être choisis en fonction de la nature et du degré de sécurité recherchés.

Protection élémentaire des biens : Le but recherché est de déjouer une attaque rapide réalisée avec des moyens limités. C’est donc une protection contre un acte de vandalisme non prémédité.

Protection renforcée des biens : Le but recherché est de dissuader ou retarder les tentatives de vol par effraction

LES JUSTIFICATIFS

Conservez bien certains documents . . .

Qu’est-ce qu’un justificatif? Si vous êtes victime d’un cambriolage, vous devez donc apporter un maximum d’éléments lui permettant d’estimer au mieux le préjudice subi. Plus vous aurez des documents d’existence et de valeur des objets dérobés au moment du vol, mieux ce sera. Mais attention chaque pièce que vous fournirez constituera un élément plus ou moins intéressant pour l’estimation des biens. Tous les documents n’ont donc pas la même valeur.

On distingue en effet deux types de justificatifs :

– Ceux qui apportent la preuve de l’existence et de la valeur des objets dérobés.

– Ceux qui ne constituent que de simples indices ou des présomptions plus ou moins fortes.

Certains documents pris isolément n’apportent pas la preuve de l’existence et de la valeur d’un objet. C’est bien souvent un dossier rassemblant un certain nombre d’éléments qui permet à l’assureur d’avoir une idée du préjudice subi.

A partir d’un certain montant de garantie, on peut vous demander de faire expertiser préalablement le contenu de votre établissement.

Voici quelques exemples de documents qui vous aideront à apprécier le préjudice subi :

Les documents

La facture d’achat d’origine : Établie au nom de l’assuré, datée, elle comporte une description suffisamment précise du bien assuré. Elle permet donc de prouver l’existence du bien et sa valeur. L’acte notarié : Peu courant, il s’agit principalement de succession ou de donation. Les biens volés y sont donc décrits et estimés. L’acte notarié représente un élément intéressant uniquement sur leur existence.
Le talon de chèques, le relevé d’une carte de crédit : Ils représentent des justificatifs complémentaires intéressants dans la mesure où ils portent une date, le nom du bénéficiaire ou l’objet de l’achat.

Le bon de garde : Pour les vêtements de fourrure ou autres biens qui ont pu être à un moment donné remis en dépôt à un professionnel. Ainsi, quand il est daté et qu’il mentionne l’identité de l’assuré déposant et la description de l’objet, il constitue un élément prouvant l’existence du bien assuré. Il n’apporte rien au niveau de sa valeur.

La photo : A prendre avec une extrême prudence : Prise en situation, la photo constitue un élément intéressant au niveau de l’existence des objets volés. Quant à leur valeur, elle n’apporte rien : on ne peut pas, par exemple, distinguer l’argent du métal argenté sur une simple photo.

La facture de réparation, de restauration ou d’entretien : Si elle comporte le nom de l’assuré, une description précise, et si elle est datée, elle contribue donc à prouver l’existence et la valeur des biens dérobés.

Le dossier constitué pour un achat à crédit : Même intérêt que la facture d’achat : ainsi, c’est un élément de preuve de l’existence et de la valeur des biens dérobés.

QUE FAIRE EN CAS DE VOL ?

Si, vous rentrez chez vous et vous vous apercevez,et que vous avez été cambriolé. Que devez-vous faire ?
Premierement, prendre immédiatement des mesures pour éviter un second cambriolage : pose d’un verrou si la porte d’entrée ne ferme plus, mais tout en conservant « les pièces à conviction ».
Si on vous a volé des chéquiers ou cartes de crédit, prévenir immédiatement les organismes concernés. Ensuite, pévenir la police ou la gendarmerie immédiatement, et déposer plainte dans les 24 heures, un récépissé devant vous être remis.

Vis-à-vis de votre assureur vous devez aussi : Déclarer immédiatement le sinistre par écrit en précisant :

  • vos nom et adresse,
  • le numéro de votre contrat Multirisque,
  • la date de la découverte du vol, le récépissé de dépôt de plainte ou l’avis de déclaration à la police.
  • Conserver tous les éléments qui peuvent prouver le cambriolage (canon ou serrure fracturés . ..).
  • Etablir un état des pertes, détaillée, et signée par vous, des biens volés avec les justificatifs.

Enfin, plus vite vous fournirez à votre assureur les éléments nécessaires, plus vite vous serez dédommagé.

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